Un changement de logiciel pour vider le FN de sa substance et faire la démocratie républicaine
Jean-Pierre Chevènement et République Moderne organisaient leur première Rencontre à l’Assemblée nationale, le 16 décembre.
République Moderne a organisé une première Rencontre autour de sa Vice-présidente Marie-Françoise Bechtel, députée de l’Aisne, de Régis Debray, philosophe, Alain Supiot, professeur au Collège de France, Jacques Mézard, sénateur du Cantal, président du groupe RDSE au Sénat, Pierre-Alain Muet, député socialiste du Rhône, Stéphane Rozès, politologue, et Coralie Delaume, essayiste.
Le thème de la Rencontre était : « De la souveraineté nationale à l’Europe européenne ». Des débats qui se sont tenus dans la salle Colbert de l’Assemblée Nationale a émergé l’idée que pour rester une puissance mondiale la France devait promouvoir à la fois une politique étrangère indépendante et l’idée d’une « Europe européenne » englobant tous les pays européens, y compris la Russie. Ce point est capital. Car seule une Europe européenne ainsi comprise peut éviter au XXIème siècle un monde bipolaire autour des États-Unis et de la Chine. L’indépendance implique la souveraineté populaire. C’est le peuple qui, en dernier ressort, consent ou révoque les délégations de compétences.
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[1] Notamment :
M. Arnaud Montebourg, ancien ministre
Mme Marie-France Garaud, ancienne conseillère du Président Pompidou
MM. Gérard Bapt, Jean-Pierre Blazy, Jean-Michel Villaumé, députés PS, Christian Hutin, député MRC
M. Pierre-Yves Collombat, sénateur (RDSE)
M. Jean-Pierre Brard, ancien député-maire de Montreuil (PCF)
M. François Morvan, responsable national de DLF
Mme Marielle Boullier-Gallo, ancienne députée européenne
Sans sectarisme et sans exclusive pour vider le FN de sa substance ? Défense de rire ! Bon courage.